arts plastiques Claude Massé: 2011

vendredi 23 décembre 2011

Exposition des 6è7

La classe a installé ses petits musées au CDI. Les élèves ont organisé leur propre vernissage le Jeudi 8 Décembre 2011.

Les petits musées des 6èmes

6è5

Basile et Enzo


Manoli et Maélys

Sélim et Théo. Musée du manga

Morgane et Eléa. Musée du cheval

6è1

Julie L et Lucas D. Musée du tennis

Sophie et Emma. Musée des chevaux


Jimmy, Mathias et Damien. Musée de la BD

Tristan et Enzo. Musée des armes

6è3

Amandine et Léa P

Antonin, Kévin et Nathan

Lenny et Dimitri

Maude et Amandine

Musée de la voiture

Nelly et Alexandre

6è2

Bebiana, cherazed et Célia. Le musée des fleurs

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samedi 10 décembre 2011

3èmes. Cocons d'artiste.

Nils Udo
Le nid
1978
terre, pierres, branches d'arbre, herbe, LoneburgHeath, Allemagne

Nils Udo est un artiste du LandArt.

A partir des années 1960, Des artistes choisissent d'installer leurs réalisations, hors des musées ou des galeries. Il présentent des sculptures souvent monumentales dans le paysage et utilisent également les matériaux du paysage pour construire leurs œuvres.


Chen Zhen Cocon du vide 2000 Perles de boulier chinois et chapelet bouddhiste, chaise, métal . 240 x 140 cm .

CHEN ZHEN est né à Shanghai, où il étudie pendant la révolution culturelle. En 1986, il émigre pour New York puis s’installe à Paris, où il suit des études d’arts plastiques. Il s’éloigne alors de la peinture pour se diriger vers la sculpture, parfois monumentale, tandis que ses recherches s’orientent vers la mémoire des savoirs traditionnels (philosophie, littérature, médecine etc.), alors interdits en Chine. Mélangeant des objets emblématiques de cette culture à des éléments liés à la pratique occidentale de l’art contemporain
Il réalise ici un assemblage à partir d'une chaise chinoise sur laquelle repose une ossature où sont enfilés des perles de boulier.Une recherche philosophique liée au concept du vide dans le bouddhisme zen est à l’origine de Cocon du vide (2000) assemblage composé de chapelets bouddhistes (la religion), de bouliers chinois en bois (les mathématiques) et de clochettes en laiton (le quotidien). L’artiste donne une forme visuelle à une sorte d’harmonie des différences qui concilie spiritualité bouddhiste et rationalité du monde occidental.

MariKo Mori est la star japonaise incontestée de l'art contemporain. Après avoir suivi des

Mariko Mori
Beginning of the end, le futur .
1999
Shangaï

études de stylisme et d'histoire de l'art, elle évolue de l'univers de la mode à celui des arts plastiques L'artiste privilégie la photographie, elle associe ce médium à la mise en scène et à la création de ses propres costumes pour ses chorégraphies.

Ses photos présentent alors des visions déformées de scènes tirées du Japon d'aujourd'hui dans lesquelles elle se met elle-même en scène, dans des costumes quasi-futuristes réalisés par ses soins. Elle apparaît ainsi dans de grands centres urbains où elle semble chercher sa place.

Persuadée du pouvoir de l’art et des artistes, telle une icône, Mariko Mori est au centre de chacune de ses œuvres, tour à tour déesse, chanteuse pop ou femme cybernétique, elle utilise son corps comme " un outil pour communiquer avec le monde ".

Dans Beginning of the end, l'artiste évoque une ville ou un lieu symbolisant la civilisation passée (Teotihuacan, Angkor, Gizeh, Ur) et contemporaine, voire futuriste (photographies de lieux emblématiques : Londres, Tokyo, Hong Kong, Shangaï, New York, Berlin ou Paris-La Défense).Dans chacun de ces lieux l'artiste se met en scène, allongée dans une capsule de plexiglas légère et incongrue, comme enveloppée du sommeil de l’éternité, évoluant dans un environnement photographique de 360 degrés. Elle semble ainsi traverser le temps, l’espace, et nous interroger sur notre devenir.